Comment la rentrée littéraire s’est sournoisement substituée à la rentrée des classes
Loin de nous l’idée de disserter sur le phénomène désormais connu sous le nom de canicule.
(Soviet Historiography of Philosophy: Istoriko-Filosofskaja Nauka (Evert van der Zweede, relié, prix de vente aux Etats-Unis $182.00))
Diagramme climatique de la ville de Bombay
Diagramme climatique de la ville de Brest
Parlons fin du mois d’août, parlons début septembre. Les catalogues de promotion dix huit euros les cinq cahiers moins vingt pour cent sur les effaceurs des gommes de toutes les couleurs des classeurs en carton recyclable des tubes de colle un cartable spiderman des trousses en polystyrène un protège-cahier translucide vert pomme des crayons deux b deux h ou alors hb le prof de dessin il a dit quoi plutôt grands ou petits carreaux et la gouache en tube vermillon et carmin faut-il vraiment les deux ? ont été remplacés par “blablabla” d’où s’ensuit, logiquement, “blablablabla".
Mais comment en est-on arrivé là ?
Il n'est pas de réponse démographique surexploitée par toutes les disciplines artistiques (non non non et trois fois non non non nous ne parlons pas ici de Fédor Mikhaïlovitch Dostoïevski) qui tienne la route.
naÿv la nrf yee!
À SUIVRE...
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